lundi 13 décembre 2010
back!
vendredi 14 mai 2010
Aïssa guapisima
Née d'un père Malien et d'une mère Sénégalaise, Aïssa Maïga s'installe avec sa famille en France alors qu'elle a quatre ans. Elle trouve sa vocation d'actrice au lycée à 17 ans, alors qu'elle entre de plein pied dans le monde du théâtre. En 1997, elle obtient son premier rôle sur grand écran sous la direction de Denis Amar dans Saraka Bo.
Après quelques rôles pour le petit écran (les Cordier, juge et flic, Commissaire Moulin) et au cinéma, Aïssa Maïga perce sous le regard de Claude Berri dans L'Un reste, l'autre part (2005). La même année, elle prête ses traits à la petite amie d'un Romain Duris mal dans sa peau dans la comédie Les Poupées russes; suite de L'Auberge Espagnole et gros succès en salle, toujours signé Cédric Klapisch. Après un détour chez Michael Haneke dans le thriller Caché, elle tourne sous la houlette de son compatriote Abderrahmane Sissako dans Bamako (2006). Sa prestation en chanteuse de bar vivant sous la coupe d'un homme violent est saluée par la critique : elle est nommée au César du Meilleur espoir féminin. En 2007, elle retrouve Romain Duris dans le second film de Raphael Fejtö : L'Age d'homme... maintenant ou jamais.
Alors qu'elle fait son premier passage derrière la caméra avec la réalisation d'un long-métrage intitulé Il faut quitter Bamako, Aïssa apparaît dans Les Insoumis de Claude-Michel Rome (2008). Plus tard, on la retrouve à l'affiche de Ensemble c'est trop, une comédie de Léa Fazer.
Je recherche actuellement son court métrage "il faut quitter Bamako" qui me donne très envie.
Aïssa c'est aussi une mannequin toute en courbes, symbole de la féminité africaine. Je laisse parler ces quelques photos.
a long time ago
jeudi 18 mars 2010
Petite merveille...
L’Unesco a choisi 2010 pour être l’ Année internationale du rapprochement des cultures. La Maison de la Francité a voulu s’associer à cette belle initiative en consacrant son concours de textes annuel au thème de la rencontre interculturelle, plus particulièrement avec l’Afrique.
Pourquoi ce continent ? Parce qu’il est à la fois très vaste et très diversifié, francophone pour une large part, relativement familier aux Occidentaux, quoique ses traditions culturelles soient très différentes des nôtres et peu connues du grand public. Mais aussi parce que les Africains et les personnes d’origine africaine sont nombreux en Europe, ce qui multiplie les occasions de découverte réciproque.
Autant vous dire que je me suis dit que c'était pour moi. Je pense écrire une nouvelle (qui doit faire tout au plus 4 pages), à rendre pour le 18 avril, espérons que j'ai le temps (inch'allah)!
Affaire à suivre...
Pour plus d'infos, rendez-vous sur le site de la Maison de la Francité
dimanche 14 mars 2010
Ben
Dans le milieu, on aime bien dire que Ben, "c'était mieux avant". Avant qu'il n'écrive blanc sur noir, avant qu'il ne devienne une marque, avant de voir se multiplier ses sentences sur les couvertures d'agenda de lycéen, les montres, carnets et autres fournitures scolaires. C'est que l'artiste préféré des cours de récré a tout de même été l'un des chefs de file du mouvement Fluxus, précurseur de l'appropriation, au travers de l'apposition de sa signature, sur un monde alors en pleine évolution. Forcément, de suite ça fait plus sérieux… Mais voilà, quelles que soient nos idées sur Ben, nos préjugés et nos craintes, lorsque le musée d'Art contemporain de Lyon décide d'organiser une exposition majeure sur le plus bavard des artistes, la réalité prend un autre visage et les premières oeuvres de Ben, très sagement exposées au premier étage ont vite fait de se réduire au simple rappel historique.
Alors pour les petits veinards qui habitent Lyon ou ont la possiblité de s'y rendre, filez tout de suite au Musée d'Art Contemporain pour voir Ben, parce qu'au fond, on aime tous ses toiles noirs et blanches aux textes qui laissent songeurs.
Youssou N'Dour & Brassens
Voici les deux versions: enjoy!
dimanche 7 mars 2010
I love Woody
C'est définitif. J'adore, j'aime, je vénère Woody Allen. Et ça grâce à Whatever Works qui reste mon préféré que j'ai (enfin!) vu hier.
Pour vous, j'ai sélectionné un florilège de ses citations et quelques vidéos:
«Quand j’ai été kidnappé, mes parents ont tout de suite agi : ils ont loué ma chambre.»
«Existe-t-il dans la nature quelque chose de réellement “parfait”, à l’exception de la stupidité de mon oncle ?»
«L'argent est plus utile que la pauvreté, ne serait-ce que pour des questions financières.»
«Hollywood ? C'est une usine où l'on fabrique dix-sept films sur une idée qui ne vaut même pas un court métrage.»
«Je ne veux pas atteindre l’immortalité grâce à mon oeuvre. Je veux atteindre l’immortalité en ne mourant pas.»
et une petite vidéo de Woody musicien:
TV5monde et dessins pour la paix s'associent pour le droit des femmes
Un programme court spécial autour de 8 dessins de Plantu
Voici le lien de la page du site tv5monde consacré à Plantu.
dimanche 28 février 2010
Diego et Frida

Diego et Frida raconte l'histoire d'un couple hors du commun. Histoire de leur rencontre, le passé chargé de Diego et l'expérience de la douleur et de la solitude pour Frida. Leur foi dans la révolution, leur rencontre avec Trotski et Breton, l'aventure américaine et la surprenante fascination exercée par Henry Ford. Leur rôle enfin dans le renouvellement du monde de l'art. Etrange histoire d'amour, qui se construit et s'exprime par la peinture, tandis que Diego et Frida poursuivent une œuvre à la fois dissemblable et complémentaire.
L'art et la révolution sont les seuls points communs de ces deux êtres qui ont exploré toutes les formes de la déraison. Frida est, pour Diego, cette femme douée de magie entrevue chez sa nourrice indienne et, pour Frida, Diego est l'enfant tout-puissant que son ventre n'a pas pu porter. Ils forment donc un couple indestructible, mythique, aussi parfait et contradictoire que la dualité mexicaine originelle, Ometecuhtli et Omecihuatl.

Vicky Cristina Barcelona
J'aime tellement ce film. J'aime tellement Woody Allen. J'aime tellement la bande originale que j'ai décidé de partager quelques morceaux avec vous.
Fermez les yeux, écoutez, savourez.
Giulia y los Tellarini: Barcelona
Paco de Lucia: entre dos aguas
Juan Serrano: gorrion
Biel Ballester Trio-When I Was A Boy
samedi 27 février 2010
Miossec
Expo Monet
Enfin, je vois surtout une foule de bobos et de vieux artistes ridés qui se plantent devant les tableaux comme des piquets. Mais j'arrive tout de même à me faufiler entre la foule et waaaahouuuu je suis littéralement bluffé. On a une reproduction de Monet dans notre salon on ne peut plus kitsh qui j'avoue est chouette, mais en vrai Monet il assure.
Les couleurs, la lumière, les formes, tout! j'adore totalement et cette expo ne fait que me conforter dans mon idée que les impressionistes ont été de vrais précurseurs de l'art contemporain. La preuve, l'expo regroupe des oeuvres de Pollock et Rothko entre autres, aux allures de tableaux de Monet.
Si vous avez l'occasion d'y passer n'hésitez pas, ça vaut ses 45min d'attente selon moi.
Nathan Sawaya
Cet artiste américain a gardé son âme d'enfant et a trouvé sa voie professionnelle tout en continuant à s'amuser, le rêve de tout adulte, il continue à jouer tout en étant payé. Ses réalisations, créées à l'aide de milliers de pièces sont incroyablement créatives et réalistes, il a même construit un ordinateur qui fonctionne !
Un travail plus que minutieux!
Je vous laisse découvrir quelques unes de ses œuvres:



Pour en savoir plus, voici son site internet.
Sebastiao Salgado



Ethiopia, 1984
Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de la BNF qui offre une exposition de Sebastiao Salgado intitulée "territoires et vies":
Bnf: Sebastio Salgado
Redemption Song

« Redemption Song » est la dernière chanson du neuvième album de Bob Marley intitulé Bob Marley and the Wailers'. Les paroles de cette chanson sont souvent considérées comme les plus belles de son oeuvre. Il s'est librement inspiré d'un discours fait par le panafricaniste Marcus Garvey.
Voici un extrait de l'un de ses discours, proclamé en 1937 et publié la même année dans Black Man Magazine:
« We are going to emancipate ourselves from mental slavery because whilst others might free the body, none but ourselves can free the mind. Mind is your only ruler, sovereign. The man who is not able to develop and use his mind is bound to be the slave of the other man who uses his mind . »
Cette chanson est pour moi l'une des plus belles de Bob Marley et a été reprise maintes fois, et je souhaite partager avec vous quelques versions qui m'ont plu:
Tout d'abord la version originale:
Version de Stevie Wonder:
Version de Laurin Hill et Ziggy Marley:
Version de John Legend:
Madrid
vendredi 26 février 2010
Monet au musée Thyssen
"Monet et l’abstraction" au musée Thyssen-Bornemisza
Cette exposition cherche à explorer l’œuvre de Monet en ce qu’elle préfigure la peinture abstraite du 20e siècle. En quête perpétuelle de l’instant, obsédé par la saisie de la perception immédiate, il apparaît comme précurseur de l’abstraction. Cette exposition révèle à travers une confrontation de son œuvre avec celle de peintres des années 50 tels que Pollock ou Rothko la modernité de ses peintures.
Monet y la abstraccion
D'ici ce week-end j'irais voir l'exposition et posterai mes impressions.
Sur le site Cités du monde, vous trouverez un reportage photo sur les visages du Brésil d'aujourd'hui qui m'a beaucoup plu et que je souhaite partager avec vous. Joie de vivre, loin de l'image clichée que l'on a du Brésil avec ses favelas ou ses scènes de fête, partez à la découverte de brésiliens tous plus différents les uns que les autres: Cités du monde: Sao Paulo
Les photos sont signées Noël Bourcieret vous pouvez consulter la galerie photo sur le monde en images, mais j'ai souhaité selectionné pour vous quelques unes d'entre elles:



Coumba Gawlo Seck, chanteuse engagée
La star de la chanson sénégalaise annonce une série d'actions en Afrique pour Haïti. Elle est à l'origine du projet Afrique for Haïti qui organisera un grand concert réunissant tous les grands musiciens sénégalais du 1er au 6 mars prochain, au cours duquel ils enregistreront une chanson commune, mise en vente sous forme de single à l'échelle internationale. Pour voir l'interview complète de Coumba Gawlo Seck, rendez-vous sur le site de tv5monde :
Voir l'interview

Indépendances africaines
Les occupations furent plus ou moins sévères, les États occidentaux plus ou moins exploiteurs, mais tous pratiquèrent, à des degrés divers, la traite négrière, les Africains étant le plus souvent à peine mieux considérés que du bétail.
Cinquante ans après, la violence des accessions à l'indépendance se ressent-elle encore aujourd'hui, au sein même des nouveaux États ?
Que reste-t-il des rêves de sociétés émancipées et du panafricanisme ?
Découvrez ce document conçu comme une invitation au voyage à travers douze pays francophones devenus indépendants en 1960. Première étape au Cameroun. Deuxième étape au Sénégal: http://independances.tv5monde.com/
Juan Francisco Casas
A première vue, vous pensez qu'il s'agit d'une photo retouchée ?
Et bien non. Il réalise ses œuvres à partir de photographies qu'il a prises lui-même. Plutôt bluffant.
Je me suis donc rendue à la galerie et en effet c'est assez impréssionnant! Je vous invite à visiter son site web :
www.juanfranciscocasas.com/
ainsi que celui de la galerie Fernando Pradilla qui propose de belles expositions:
www.galeriafernandopradilla.com/
Enfin, j'ai selectionné pour vous quelques unes de ses oeuvres, ouvrez grands les yeux.



Lightspeed champion

Et son air de Kanye West ne gâche rien à son talent ;)

Son myspace c'est par ici:
http://www.myspace.com/lightspeedchampion
[Personnelement , j'accroche totalement à la chanson "Marlene"]